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23 septembre 2024

Au Bénin : une clinique sur bateau pour les communautés isolées

Memisa souhaite développer une clinique flottante, sur bateau, pour améliorer l’accès aux soins de santé des habitants de Sô Ava et des Aguégués (Bénin). Dans ces deux régions lacustres, la vie se déroule entièrement sur l’eau. Sô Ava et les Aguégués sont de véritables joyaux touristiques. Pourtant, l’accès aux soins de santé y demeure très difficile…

L’isolement géographique ne doit pas priver du droit aux soins

Sô-Ava et les Aguégués sont deux communes situées au Sud du Bénin. Plus de 210 000 habitants y vivent sur l’eau, dans des habitations sur pilotis. L’accès aux soins médicaux y est extrêmement difficile. « Pour rejoindre le centre de santé le plus proche, les femmes enceintes et les malades doivent effectuer un trajet de deux heures. Pour ceux qui trouvent le courage de réaliser ce périple, ils sont souvent confrontés à des centres vétustes et dépourvus de matériel médical et de médicaments. Cela doit changer ! », explique Joséphine Dossou, Responsable Régionale Benin pour Memisa.

Dans ces communes, le taux de pauvreté avoisine les 50%. La majorité des habitants n’a pas les moyens de se rendre jusqu’au centre de santé éloigné, pour bénéficier de soins médicaux.

Amener en bateau les soins de santé jusqu’aux patients

Pour Memisa, chaque personne doit avoir accès à des soins de santé de qualité, peu importe où elle vit. C’est pourquoi, avec notre partenaire l’Association Béninoise pour la Promotion de la Famille, nous voulons créer une clinique flottante qui parcourra Sô-Ava et des Aguégués. Chaque mois, 1 à 2 consultations seront organisées dans chaque commune. A bord de la clinique se trouveront 2 sages-femmes ainsi qu’un conducteur.

Projet clinique sur bateau Memisa et ABPF, au Bénin

Pour concrétiser ce projet, nous devons acheter un bateau et le transformer en clinique mobile.

Cela implique :

  • de créer des espaces de consultation,
  • de les équiper avec du matériel médical (table de consultation, tensiomètre, petit matériel gynécologique, pinces, etc.)
  • installer des toilettes.

 JE CONTRIBUE À CE PROJET

La clinique sera accompagnée en permanence par une petite barque motorisée, avec à son bord des volontaires de l’ABPF. Ces bénévoles se déplaceront dans les villages pour annoncer l’arrivée de la clinique et sensibiliser les familles à l’importance des soins de santé, en particulier des soins de santé sexuelle et reproductive.

Ensemble, nous pouvons rapprocher les soins de santé des villages les plus isolés, pour que chaque personne soit soignée correctement !

 Faire un don

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19 septembre 2024

Pour la naissance de mon bébé, je veux récolter des dons pour une bonne cause !

La naissance d’un enfant est un moment de joie dans une famille. Traditionnellement en Belgique, l’arrivée d’un bébé va de pair avec la création d’une liste de naissance. Toutefois de plus en plus de parents se détournent des listes de naissance classiques. Ils souhaitent faire de la naissance de leur enfant un vrai moment de solidarité. Memisa propose 2 outils solidaires, à la place d’une liste de naissance classique, ou en complément.

1. Créez votre propre page de collecte de dons sur together.memisa.be

 

Rendez-vous sur together.memisa.be et créez votre page de collecte en quelques clics.

Partagez le lien à vos amis et votre famille sur votre faire-part de naissance, dans votre groupe Whatsapp familial, etc. Vous serez automatiquement tenu au courant des personnes qui soutiennent votre liste, et pour quel montant. Rien de plus facile pour remercier vos proches !

Bonus non négligeable : si vos amis contribuent à hauteur de 40€, ils recevront un avantage fiscal ! Ainsi, en faisant un don de 40€ au nom de votre bébé, ils ne paieront en réalité que 22€.

En 2023, 36 familles ont choisi de créer une liste de naissance en ligne Memisa, invitant leurs proches à faire un don à Memisa. Cela a notamment permis à l’organisation d’acheter un échographe à l’hôpital de Bokonzi. Grâce à la générosité des donateurs, nous soutenons les mamans d’Afrique et leurs bébés.

2. Soutenir Memisa : l’astuce Kadolog

 

Vous créez une liste Kadolog ou sur un autre site ? Pourquoi ne pas ajouter « faire un don » à Memisa comme possibilité de cadeau ?

  • Fixez un objectif de collecte à atteindre.
  • Renvoyez vers le site http://donate.memisa.be
  • Laissez vos proches participer librement à l’atteinte de votre objectif de collecte.
  • Dans ce cas-ci également, tout don supérieur à 40€ donne droit à une réduction fiscale.

Témoignages

Caroline (maman de Paco) et Jolien (maman de Barry et Lorre), nous expliquent pourquoi elles ont choisi Memisa pour faire leur liste de naissance solidaire.

Jolien : « Nous attendons notre deuxième enfant, nous avons donc déjà tout ce que l’on met habituellement sur une liste de naissance. Nous sommes très heureux que la croissance de notre bébé et ma santé soient suivies de près par un médecin. Je ne pourrais pas imaginer que cela se passe autrement. C’est pourquoi nous voulons donner à nos proches la possibilité de soutenir les mamans en Afrique, qui ont difficilement ou pas accès aux soins de santé. »

Caroline : « Paco est notre seul enfant, mais nous n’avons pas eu besoin de beaucoup de choses nouvelles, car nous avions reçu beaucoup de nos cousins. Nous aimons la récup ». Nous savions que notre famille et nos amis aimeraient offrir quelque chose à la naissance. Pour éviter de nous retrouver avec trop de doudous et de pyjamas, nous avons donc décidé de créer une liste de naissance solidaire. La générosité de notre famille et de nos amis a permis de soutenir les mamans et les bébés qui n’ont pas les mêmes chances que nous. »

Comment votre entourage a-t-il réagi  ?

Caroline : « Certains ont été surpris et n’ont pas tout de suite compris. D’autres, surtout les proches parents, voulaient faire un “vrai” cadeau. Mais notre liste a été un grand succès et nous avons reçu de nombreux commentaires positifs et félicitations pour notre initiative. »

Pourquoi était-ce important pour vous de soutenir Memisa ?

Jolien : « Je pense qu’il est important que nous soyons conscients des différences qui existent dans le monde. Nous devrions être reconnaissants que nous et nos enfants puissions grandir en bonne santé. Je pense que la solidarité est très importante. Que ce soit à l’international ou en Belgique. »

Vous aussi, partagez votre bonheur !

Comme Jolien, Caroline et bien d’autres parents, optez pour une liste de naissance solidaire. Vous pouvez également décider de créer une liste Memisa en plus de votre liste de naissance classique.

 

Je crée ma page de collecte

 

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13 septembre 2024

En incluant Memisa dans votre testament, vous continuez à vivre à travers nos projets !

Rédiger un testament. Planifier de son vivant la gestion de son propre héritage. Aujourd’hui, ces démarches sont de plus en plus courantes. Annie et Philip, deux précieux sympathisants de Memisa, ont décidé d’inclure notre ONG dans leur testament. À l’occasion de la Journée internationale du testament, nous souhaitons mettre en lumière leur engagement. Leur héritage permet à Memisa de poursuivre ses projets.

Chaque année, des sympathisants de Memisa incluent notre ONG dans leur testament. Ce faisant, ils donnent la chance à leurs valeurs et leurs convictions de continuer à vivre, même après eux. En effet, beaucoup de nos donateurs souhaitent prolonger leur soutien à Memisa, au-delà de leur existence. En intégrant Memisa dans leur testament, ils contribuent à construire un monde en bonne santé. Aujourd’hui, nous mettons en avant deux sympathisants dont les idéaux se perpétuent grâce aux projets de Memisa.

« J’admire le personnel soignant congolais »

Philip a soutenu Memisa pendant des années. Il voulait continuer à avoir un impact significatif, même après sa mort. Il a donc décidé d’inclure Memisa dans son testament, par admiration pour le travail de Memisa, et surtout pour celui du personnel soignant en RD du Congo.

Entre 1959 et 1968, Philip a lui-même vécu en RD du Congo, un pays « qui reste cher à son cœur ».  En RD du Congo, Philip a constaté que beaucoup de personnes n’avaient pas accès facilement aux soins de santé. « Quand nous circulions en voiture, nous croisions souvent des femmes malades ou enceintes à la recherche d’une aide médicale. Elles devaient parfois parcourir jusqu’à 100 kilomètres à pied avant de pouvoir recevoir des soins ! », se souvenait Philip.

« Les conditions dans lesquelles les infirmiers doivent travailler en RD du Congo ne sont pas faciles. Pour moi, ce sont de véritables héros «  Philip, testateur pour Memisa

L’homme éprouvait une immense admiration pour les infirmières et les infirmiers qui travaillent dans les centres de santé en RD du Congo. « Les conditions dans lesquelles ils doivent travailler ne sont pas faciles. Pour moi, ce sont de véritables héros !  Je lègue volontiers à Memisa, car je sais que mon argent sera utilisé à bon escient. »

Philip a inscrit Memisa dans son testament

La solidarité internationale est une responsabilité collective

Annie (nom d’emprunt) a également choisi d’inclure Memisa dans son testament et d’avoir un impact positif sur la vie des autres, même après sa mort.

Annie ne dispose peut-être pas d’énormes ressources financières, mais elle tient tout de même à soutenir les femmes enceintes et les communautés vulnérables en Afrique. « Memisa m’a informée d’un projet qu’ils ont mis en place à Popokabaka, en collaboration avec l’hôpital AZ Sint-Lucas à Bruges. »

Memisa travaille à Popokabaka (RD du Congo) pour améliorer la qualité des soins de santé à l’hôpital et dans les centres de santé environnants. Car de nombreuses contraintes entravent l’accès et la qualité des soins dans cette région. « L’histoire de Memisa à Popokabaka m’a convaincue de soutenir le projet en léguant une partie de mon héritage à l’ONG. ». Pour Annie, c’est l’« approche humaine » de Memisa qui l’a convaincue de s’impliquer davantage auprès de Memisa. Grâce à son legs, elle contribue de manière très concrète à nos projets. Les dons et legs, comme celui d’Annie, font réellement la différence sur le terrain. Ils permettent de renforcer la résilience des communautés vulnérables en Afrique.

« C’est l’approche humaine de Memisa qui m’a convaincue » Annie, sympathisante de Memisa

Annie pense également que nous portons une responsabilité collective, celle de soutenir les pays africains anciennement colonisés. « Ici, en Belgique, nous devons en grande partie notre richesse et notre prospérité aux pays africains, en particulier à la RD du Congo. En réalité, nous leur avons volé ce que nous possédons aujourd’hui », dit Annie avec conviction.

« Je veux apporter mon soutien aux personnes qui traversent des épreuves difficiles en Afrique, en particulier en RD du Congo. » Pour Annie, le plus important dans la vie, c’est l’humain. Contre la polarisation de la société, il faut vivre en harmonie avec les autres. « Je cherche toujours à créer des liens avec les gens. Je crois que c’est notre devoir moral de faire ce que nous pouvons pour autrui. » Annie aimerait inspirer son entourage, mais reconnaît que chacun doit pouvoir décider par lui-même de ce qu’il souhaite et peut faire pour les autres.

Souhaitez-vous, vous aussi, faire un legs pour Memisa ?

Rédiger un testament, ce n’est pas très compliqué. Vous trouverez ici de plus amples informations sur la manière de léguer à Memisa : https://memisa.be/fr/soutiens/legs-et-donations/

Envisagez-vous d’inclure Memisa dans votre testament ? Avez-vous des questions sur la finalisation de votre succession ? Si c’est le cas, n’hésitez pas à nous contacter, sans engagement. Nous serons heureux de vous aider et de vous écouter. Vous pouvez contacter Memisa via :+32 24.54.17.52
Ou par email : [email protected]

Vous pouvez également vous adresser à Testament.be pour obtenir plus d’informations : https://www.testament.be/

 

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9 septembre 2024

Flambée de mpox : Memisa agit pour la prévention et la formation du personnel médical

La mpox, également connue sous le nom de « variole du singe », gagne dangereusement du terrain en RD du Congo et sur le continent africain. Plus de 15.000 cas ont été confirmés sur le sol congolais depuis le début de l’année 2024. 537 personnes sont décédées. La maladie touche en particulier les enfants.

mains d'enfant mpox RD du Congo

La mpox se propage dangereusement sur le continent africain

La mpox est présente en RD du Congo depuis plus de 10 ans. Chaque année, depuis une décennie, le nombre de cas signalés n’a cessé d’augmenté. En 2023, une nouvelle souche virale particulièrement contagieuse a fait son apparition. En août 2024, constatant la recrudescence de la maladie, l’OMS déclarait la mpox comme urgence de santé publique de portée internationale. La RD du Congo n’est désormais plus le seul pays touché, alors que des cas sont détectés au Burundi, au Kenya, Rwanda et en Ouganda [1].

Dans les centres de santé et les hôpitaux où Memisa travaille, nous constatons également la hausse des cas. Dans la province du Sud-Ubangi, à l’ouest de la RD du Congo, 1541 malades ont été identifiés depuis janvier 2024. Le Sud-Kivu n’est pas épargné non plus. A Miti-Murhesa, 830 cas ont été notifiés depuis le mois d’avril. Enfin, l’inquiétude monte également au Burundi qui a signalé 150 cas à ce jour [2].

Sensibiliser pour ralentir la propagation de la mpox

La mpox est une maladie infectieuse virale très contagieuse. Elle se transmet :

  • Par contact avec des fluides corporels, des lésions cutanées ou des muqueuses de personnes infectées
  • Par contact direct avec des animaux infectés
  • De façon indirecte via des matériaux contaminés tels que les matelas, le linge ou d’autres surfaces.

mains et bras mpox RD du Congo

Il est donc essentiel pour la population de connaître les facteurs de risque de transmission. Memisa et ses partenaires locaux s’activent pour sensibiliseret informer les communautés.

Les visites à domicile, l’impression de dépliants, et la diffusion de messages de prévention à la radio font partie des moyens mis en place pour informer rapidement et correctement les communautés des symptômes et des moyens de transmission.

Du personnel médical formé pour une bonne prise en charge de la maladie

La formation du personnel médical est également cruciale. La prise en charge de la mpox requiert en effet certaines connaissances spécifiques. Les médecins, infirmiers et laborantins doivent bien sûr maîtriser les fondamentaux pour soigner les patients et confirmer le diagnostic.

personnel médical en blouse, masque et bonnet de protection se lave les mains

D’autres travailleurs du secteur médical doivent également être sensibilisés. C’est le cas notamment des hygiénistes et du personnel d’entretien, responsable de la désinfection des locaux et de la literie des malades.

Vous voulez nous aider à lutter contre la propagation de la mpox ?

Faites un don à Memisa et contribuez à la formation du personnel de santé et à la sensibilisation de la population.

Je réponds à l’urgence : je fais un don

 

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2 septembre 2024

La formation continue contre la mortalité maternelle et néonatale en Mauritanie

En Mauritanie, trop de mamans et de bébés meurent pendant ou juste après l’accouchement. Grâce au soutien de ses généreux donateurs, l’ONG belge Memisa forme les professionnels de la santé, tout au long de leur carrière, pour qu’ils et elles soient capables d’apporter aux femmes et à leurs nouveau-nés les soins nécessaires à leur survie.

nouveau-né dans des couvertures, Mauritanie

Les dons nous permettent de former les prestataires de soins en soins obstétricaux et néonataux d’urgence

 

En 2023, Memisa a formé 21 sages-femmes et 79 infirmiers en soins obstétricaux et néonataux d’urgence en Mauritanie, en collaboration avec l’Association pour la Promotion de la Santé à Dar Naïm.  La formation permet la mise à jour des connaissances et des compétences des agents de santé par rapport à certaines complications liées à la grossesse, à l’accouchement et au post-partum, comme :

  • La prévention et la prise en charge des hémorragies du post-partum,
  • La prévention et la prise en charge de l’hypertension artérielle (prééclampsie),
  • La prévention et la prise en charge des infections chez la maman
  • Les soins néonataux essentiels, en particulier pour les prématurés
  • La réanimation du nouveau-né.

Ces soins sont essentiels pour assurer la santé et le bien-être des mères et des nouveau-nés et pour réduire la mortalité et les complications à court et à long terme.

Centre de Santé Bababé (Mauritanie) - 2 sages-femmes à leur bureau

« Nous avons suivi la formation en soins obstétricaux et néonataux donnée par l’APSDN. Cela a beaucoup changé notre manière de travailler. »

Sages-femmes du CS de Bababé

Des taux de mortalité maternelle et néonatale élevés en Mauritanie

 

En Mauritanie, les mortalités maternelles et néonatales sont un véritable problème de santé publique.

Le taux de mortalité maternelle est élevé, avec 464 décès de femmes pour 100 000 naissances vivante [1], selon la Banque Mondiale. La plupart des décès des mamans sont dus à des complications qui pourraient pourtant être facilement évitées. Ainsi, les femmes peuvent décéder d’une hémorragie, en particulier une hémorragie postpartum, d’une infection ou des suites d’une crise convulsive provoquée par de l’hypertension artérielle (eclampsie) [2].

Le taux de mortalité néonatale s’élève quant à lui à 33,6 décès pour 1 000 naissances vivantes [3]. Les principales causes de mortalité chez les nouveau-nés sont le manque d’oxygène à la naissance, les infections et les complications liées aux naissances prématurées [4].

L’une des clés pour faire baisser ces deux chiffres préoccupants réside dans la formation le personnel de santé en soins obstétricaux et néonataux d’urgence (appelés également SONU). Chaque agent de santé doit être capable de surveiller l’état de santé de la mère et du bébé pendant la grossesse, l’accouchement et la période post-partum, ainsi que de détecter et gérer les complications (hémorragies, hypertension, infections) ou les anomalies de croissance qui sont les causes majeures de décès maternel ou néonatal.

Continuer à apprendre, même après l’obtention de son diplôme : la formation continue est cruciale pour le personnel de santé

 

Chaque jour, les connaissances médicales évoluent. Nous faisons de nouvelles découvertes, nous développons des thérapies innovantes. Dans ce contexte changeant, il est indispensable que les professionnels de santé restent en phase avec ces évolutions et se tiennent informés des derniers progrès médicaux. En Mauritanie, Memisa agit pour la formation continue des prestataires médicaux. Nous collaborons avec l’Association pour la Promotion de la Santé à Dar Naïm, une association mauritanienne reconnue pour son offre de formations pratiques. L’APSDN organise des formations destinées aux agents de santé, portant aussi bien sur les soins aux nouveau-nés que sur l’utilisation de l’outil informatique

Aidez-nous à organiser d’autres formations pour les sages-femmes et les infirmiers de Mauritanie !

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